Nouveauté : Les dossiers retraite

Nouveauté : les dossiers retraite

Nouveau ! À compter du lundi 02 juin et jusqu’au 31 juillet, retrouvez-moi à La Ruche Numérique de Bagnols-sur-Cèze sur rendez-vous uniquement afin de préparer vos dossiers retraite.

À raison de 12 heures par semaine, principalement les lundis après-midi, mardis matin, mercredis après-midi et jeudis matin, je vous accueille sur rendez-vous individuel de 1h afin de vous aider sur ce type de démarche.

Fuite de données, c’est grave docteur ?

Fuite de données, c’est grave docteur ?

Fuite de données, c’est grave docteur ?

Depuis de nombreuses années, les cas de piratage et de fuites de données (que l’on appelle leak dans le jargon) se multiplient, à tel point que l’on ne compte malheureusement et presque plus le nombre d’entreprises, et surtout le nombre de clients, impactés. Alors que peut-on y faire à notre niveau ? Est-ce grave ? Que risque-t-on ?… On me pose régulièrement la question de savoir quel est le niveau de danger face à un piratage de données personnelles et surtout, que faire pour s’en protéger. Je prends un temps pour vous expliquer.

 

Un fléau de très grande ampleur qui ne cesse de s’étendre

Le piratage de données est un fléau qui s’étend un peu plus chaque jour. Les entreprises qui ont dû faire face au moins une fois à un cas de cyberattaque sont légion, parmi les plus célèbres cas récents recensés :

  • Cultura (septembre 2024 – fichier de 1.5 millions de clients)
  • SFR ( septembre 2024 – fichier de 3.6 millions de clients avec mise en vente sur le dark web en novembre 2024)
  • Auchan (novembre 2024 – fichier de 500 000 clients)
  • La Poste (mars 2025 – fichier de 50 000 utilisateurs)
  • Autosur (mars 2025 – fuite de 10 millions de plaques d’immatriculation et données clients)

Et notamment ce qui est selon moi, pour le moment en tout cas, le paroxysme du vol de données :

  • Boulanger (septembre 2024 – fichier de 28 millions de clients avec mise en vente sur le dark web)
  • Free (octobre 2024 – fichier de 19 millions d’abonnés et 5 millions d’IBAN)

 

À cela, on n’oubliera évidemment pas d’y ajouter les innombrables collectivités publiques (mairies, communautés d’agglomérations, conseils départementaux et régionaux…), hôpitaux, crèches, universités, ainsi que les sites Internet des pouvoirs publics : Ameli, France Travail, Caisse d’Allocations Familiales…

Bien entendu, je ne vous dresse là qu’un triste tableau des cas de piratage les plus marquants. Je ne vous ferai pas le listing complet des centaines d’entreprises impactées, qui ont été recensées pour certaines et, sans nul doute, passées sous silence pour d’autres…

 

Données piratées, qu’est-ce que je risque ?

Si vous pensez faire partie des clients, abonnés ou usagers dont les données ont fuité, gardez votre calme, il n’est pas nécessaire non plus de paniquer. Tout d’abord parce que le mal est malheureusement déjà fait et que, hélas, tout ceci vous échappe. Il faut savoir que vu l’ampleur de la situation, on est tous déjà très certainement concerné par ce phénomène (on a tous un rapport plus ou moins direct avec une entreprise ou un organisme piraté), et que, pour le coup, « faire partie de la masse » vous protège un peu à titre individuel.

Ensuite parce que les pirates informatiques qui ont subtilisé vos données vont principalement s’en servir à deux fins principales…

La plupart du temps, les hackers vont revendre tout simplement les données volées au mieux offrant, puisqu’une base de données clients par exemple a une certaine valeur. Et plus elle contient de données, plus elle a de la valeur, d’où l’intérêt d’aller pirater des bases de données quantitatives mais aussi qualitatives. Ces fichiers client sont souvent mis en vente sur le dark web ou revendues en sous-main, à des escrocs et même certaines entreprises scrupuleuses, qui s’en servent ensuite pour vous démarcher par téléphone ou par e-mail.

Parfois, mais moins fréquents, les pirates vont se transformer eux-mêmes en escrocs et se servir des données piratées afin de se faire passer, notamment, pour votre conseiller bancaire auprès de vous. Cette usurpation d’identité est certainement l’aspect le plus dangereux de la fuite de données, car en étant en possession d’une foule d’informations sur vous, l’escroc à l’autre bout du fil peut facilement vous manipuler en vous mettant en confiance : « Bonjour Madame ou Monsieur Untel, vous habitez bien à l’adresse xxxxx, votre adresse e-mail est la suivante, etc… Je vous signale un prélèvement frauduleux sur votre compte bancaire n° xxxxx ». Et c’est bien souvent là que le piège se referme sur vous, la panique vous prenant, vous faites alors confiance à tort en la personne que vous avez au bout du fil, qui ne vous donnera que de mauvais conseils pour en réalité vous dérober de l’argent. Un petit conseil si cela vous arrive un jour : essayez de garder votre calme, restez toujours méfiant.e.s au téléphone et demandez systématiquement un rendez-vous en agence pour régler le problème.

 

En bref, on a tendance à penser que le piratage de données, y compris bancaires, fait craindre pour un piratage direct de compte bancaire. Il faut savoir que les banques se prémunissent depuis déjà de nombreuses années contre ce phénomène, donc, en réalité, les risques réels à ce niveau sont vraiment minimes, mais pas inexistants pour autant ! Cela grâce aux protections bancaires, par exemple la nécessité d’avoir un Sécuri’Pass (principe de la double authentification depuis le smartphone) pour valider une transaction bancaire. Les escrocs vont donc davantage concentrer leurs efforts à vous manipuler pour que soyez vous-mêmes à l’origine de la faille dans laquelle ils vont s’engouffrer… Donc restez vigilant.e en toute circonstance !

 

Est-ce qu’il existe des manières de se protéger ?

Alors je vais pas tourner autour du pot bien longtemps (surtout que l’article est déjà bien assez long comme ça !) : oui, il est possible de se protéger, dans une certaine mesure, du vol de données.

Déjà, il faut savoir que ce n’est pas au stade où on s’est fait pirater ses données qu’il faut s’inquiéter : la protection de ses propres données personnelles doit être un enjeu permanent. Trop peu de personnes sont conscientes que des données personnelles valent de l’or, et je pèse mes mots en disant cela.

En fait, pour se protéger au mieux du vol de données, le mieux c’est encore d’en donner le moins possible, au quotidien… « Était-ce vraiment nécessaire de préciser mon numéro de téléphone ou bien mon adresse postale lors de mon inscription sur ce site Internet l’autre jour, alors que ces informations n’étaient que facultatives ? » Voilà, par exemple, le type de question qui vous met sur la bonne voie 😉

J’irai même bien plus loin personnellement. Certains d’entre vous connaissent mon aversion pour les cartes de fidélité (on aura l’occasion d’en reparler dans un futur article), hé bien je pense que dans un contexte où le piratage de données est devenu quelque chose de massif, cela apporte une pierre de plus à mon édifice. Les cartes de fidélité vous permettent d’avoir des réductions en magasin lors de vos passages en caisse, mais avez-vous déjà songé à quel prix cela se faisait ? Au prix et en échange de vos données personnelles, tout simplement. Vous venez alimenter une base de données clients qui se nourrit de vos habitudes de consommation… Hé bien cette base de données clients, quand elle se fait pirater, c’est là les problèmes commencent pour vous… Et ne vous fiez pas aux discours de ces entreprises qui se font pirater, déjà elles ont trop tendance à minimiser les choses, par exemple SFR qui annonce en gros que « pas d’inquiétudes, vos données bancaires n’ont pas été impactées », or on a pu voir que ce n’était pas le problème principal du vol de données… Et ensuite parce qu’elles pourraient vraiment faire davantage d’efforts, selon moi, pour protéger ce trésor que sont vos données personnelles, en investissant dans de vrais systèmes de sécurité informatiques, pares-feux et compagnie… En somme, comme pour chacun d’entre nous, de ne pas attendre de se faire subtiliser des données pour agir !

GAFAM : je t’aime, je te quitte ? (2/2)

GAFAM : je t’aime, je te quitte ? (2/2)

On continue cette semaine notre tour d’horizon des pratiques alternatives afin de se passer des grandes entreprises américaines du numérique. Et on attaque fort, dans ce second et dernier volet !

 

Les achats sur Internet : Cdiscount

Aujourd’hui, se passer de marketplace, ces plateformes de ventes en ligne, est de plus en plus difficile. Alors oui, c’est vrai, on peut simplement et uniquement choisir d’aller faire ses achats dans les grandes surfaces, ou mieux encore, dans les commerces de proximité, comme le font d’ailleurs des centaines de milliers de français (davantage par rapport au fait qu’ils ont peur de commander en ligne que par réel choix, pour la plupart je pense, mais bon passons, là n’est pas le sujet).

On ne va pas se mentir, faire certains achats sur Internet présente souvent de nombreux avantages, telles que déjà la possibilité d’y trouver des produits qui seraient introuvables dans les commerces physiques, mais surtout d’y dénicher des produits à des prix franchement plus bas. Je pense notamment aux articles numériques : smartphones et ordinateurs sont régulièrement affichés à des prix bien moins chers que leurs équivalents à la Fnac ou même Darty… Et dans une période où le pouvoir d’achat est en berne, ça compte forcément !

Fondé en 1998 par 3 frères, Cdiscount est une entreprise de commerce en ligne basée à Bordeaux. Ce géant du e-commerce français cherche tant bien que mal à résister à des concurrents internationaux qui grattent chaque année un peu plus des parts de marché : le chiffre d’affaires de Cdiscount en 2023 était 6 fois inférieur à celui d’Amazon France, et le chinois Temu, à peine installé, a déjà surpassé Cdiscount en nombre de visiteurs mensuel en 2024. Il faut dire qu’entre la force logistique, la rapidité de livraison d’Amazon d’un côté, et la politique de prix très cassés que propose Temu de l’autre (très souvent au détriment de la qualité, ne l’oublions pas !), la place de Cdiscount est de plus en plus difficile à trouver.

Depuis juin 2024, Cdiscount tente une nouvelle stratégie : vous proposer des prix bas mais aussi des produits plus responsables, en valorisant notamment les produits avec un bon indice de réparabilité, moins énergivores, reconditionnés ou bien encore uniquement fabriqués en France.

https://www.cdiscount.com/

 

Les logiciels de bureautique : Libre Office, Open Office

Quand on pense « logiciel de traitement de texte », on pense naturellement à Word, issu de la suite Microsoft Office. La suite Office est effectivement une suite complète et performante. Mais elle a aussi un coût, et pas des moindres, puisque pour un abonnement personnel (donc pour 1 seul ordinateur), Microsoft vous demandera de payer un abonnement à 99€/an… Rien que ça !

Libre Office et Open Office, des suites de logiciels open source (on a déjà parlé de ce type de logiciel précédemment), embarquent les mêmes type de logiciels que Microsoft Office, mais gratuitementTexte, Classeur, Présentation, Dessin et d’autres chez Open Office, et Document Writer, Classeur Calc, Présentation Impress et d’autres chez Libre Office, qui ne sont ni plus, ni moins, que les équivalents gratuits de Word, Excel ou encore PowerPoint chez Microsoft

Avec une compatibilité à 100 % entre les fichiers Libre Office, Open Office et Microsoft Office !

https://fr.libreoffice.org/download/telecharger-libreoffice/

https://www.openoffice.org/fr/

 

Les logiciels de création graphique : Affinity, Canva

Pour celles et ceux intéressé.e.s par la création graphique (comme moi), on a généralement coutume d’utiliser une suite logicielle puissante appelée sobrement Suite Adobe (Adobe Creative Cloud, principalement…). Cette suite embarque en effet des applications puissantes et techniques telles que le célèbre Photoshop, Illustrator, Indesign ou encore Premiere Pro, entre autres. L’idéal lorsque l’on travaille dans la communication visuelle et digitale comme moi ! Mais cet idéal a un coût : 67€/mois pour un abonnement à la suite complète

Vous y êtes habitué.e.s maintenant, je vais vous donner des alternatives… J’en vois deux principalement :

La suite Affinity propose 3 logiciels Photo, Designer et Publisher, qui sont les équivalent chez Adobe de Photoshop, Illustrator et Indesign. Compatibilité à 100 % avec les équivalents Adobe, et une prise en main quasi-similaire. La grosse différence, le prix : 180€ en achat unique, pour une utilisation à vie. Chez Affinity, pas d’abonnement !

Canva, qui est une plateforme de création graphique en ligne. La prise en main de Canva est intuitive et rapide (j’ai même réussi en une seule séance à apprendre les rudiments de Canva à des septuagénaires, c’est vous dire!). L’utilisation est en grande partie gratuite, avec une version payante à 110€/an pour débloquer l’ensemble des fonctionnalités de la plateforme (avec notamment un stockage cloud plus important et une utilisation plus poussée de l’intelligence artificielle).

https://affinity.serif.com/fr/

https://www.canva.com/fr_fr/

 

Les réseaux sociaux… Prenez un peu de distance !

Facebook, Instagram, TikTokLes réseaux sociaux, c’est bien beau, mais cela ne remplace pas un apéro entre amis, un restau ou une sortie au parc avec celles et ceux qui nous sont proches. Je vais pas vous ressortir les chiffres du temps que passent les français en moyenne chaque semaine sur les réseaux sociaux, mais je peux vous dire qu’en l’espace d’une simple décennie, l’évolution est juste colossale.

Il faut savoir que la tendance se dirige de plus en plus vers les formats de vidéo courts appelés reels, stories ou même encore shorts selon le réseau social. Ces vidéos de quelques secondes n’ont que pour seul objectif de vous happer sur la plateforme sur laquelle vous vous trouvez afin de vous déconnecter le plus possible de la réalité et de votre propre conscience du temps qui passe. Qui ne s’est d’ailleurs jamais surpris à rester bien plus de temps que nécessaire aux toilettes en swapant sur son smartphone devant ces mini-vidéos ? C’est le but : endormir au maximum votre cerveau et le rendre réceptif et malléable aux publicités qu’on vous montre entre deux shorts. Et bien entendu, on passera sous silence les dégâts que cela peut occasionner notamment chez les plus jeunes, en termes d’attention et même de cognition.

Alors reprenons tous le contrôle de l’espace numérique qui est propre à chacun… Avec quelques efforts, ce n’est pas si compliqué ! 😉

GAFAM : je t’aime, je te quitte ? (1/2)

GAFAM : je t’aime, je te quitte ? (1/2)

Si comme moi vous êtes particulièrement attentif à ce qu’il se passe actuellement dans le monde, au niveau notamment « géopolitico-économique », et que vous souhaitez vous aussi prendre vos distances avec le pays de l’oncle Sam, je vais vous donner dans cet article quelques pistes de réflexion. Car oui, même si les entreprises américaines dominent largement l’univers du numérique, on a quand même, à certains moments, les moyens de se passer d’elles. Je vais probablement y laisser quelques plumes en termes de référencement en vous disant cela, mais qu’importe : les GAFAM (Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft) ne sont pas systématiquement incontournables ! On fait le point là-dessus…

 

Le système d’exploitation alternatif : Linux

Quand on achète un PC dans le commerce, on est généralement tellement habitué à fonctionner sous environnement Windows (Windows 11… et bientôt Windows 12) qu’on ne se pose même pas la question de savoir si un ordinateur est capable de se passer du système d’exploitation créé par la firme américaine fondée par Bill Gates. La réponse est, pourtant, oui.

Créé en 1991 par Linus Torvalds, le noyau Linux est un système d’exploitation que l’on appelle open source car appartenant à la grande famille des logiciels libres, une famille dont on va largement parler dans ce double article, car elle promeut entre autres la gratuité, la liberté d’utilisation et même la libre modification et le libre partage de programmes. Une vision bien spécifique de l’informatique et de l’Internet donc, à l’opposé des objectifs mercantiles des géants du web notamment.

Vous l’aurez donc senti venir : Linux, bien que largement occulté par Microsoft pour le grand public, en reste néanmoins une alternative puissante et surtout gratuite, qui équipe aujourd’hui de nombreux particuliers mais aussi des professionnels. Alors, je vais pas rentrer dans les détails pour éviter d’être trop technique, mais concrètement, Linux possède certains avantages, par exemple, contrairement à Windows qui peut nécessiter des redémarrages fréquents après mises à jour ou installations, Linux fonctionne souvent de manière fluide pendant de longues périodes sans interruption.  De plus, la gestion des permissions et des droits utilisateurs sur Linux est conçue pour limiter les risques en cas d’infection par des virus. Enfin, la liberté de personnalisation de ce système d’exploitation reste probablement son meilleur atout.

Alors on va pas se mentir, passer radicalement de Windows à Linux n’est pas une mince affaire, surtout quand on est « formaté » depuis bien longtemps à l’utilisation des différentes versions de Windows… mais cela mérite qu’on y réfléchisse toutes et tous au moins une fois !

https://linuxmint.com/

 

Les navigateurs Internet alternatifs : Mozilla Firefox, Brave, Opera

Le respect de nos données personnelles et du caractère privé de ces dernières est un sujet qui nous concerne et nous préoccupe toutes et tous. Alors pourquoi les confier à des grandes entreprises qui s’en servent pour vous proposer de la publicité ciblée en exploitant, avec peu de scrupules disons-le, vos données de navigation ?

Outre Google Chrome, vous pouvez donc opter pour son concurrent principal Firefox (ayant pour mascotte un panda roux, et non un renard roux comme l’on pourrait facilement le croire !), un navigateur réellement respectueux de la vie privée et détenu par la fondation Mozilla, un organisme communautaire à but non lucratif, financé par des dons privés, qui prône le libre accès selon le principe du « Manifeste Mozilla », reposant sur la « préservation du choix et de l’innovation sur Internet ».

https://www.mozilla.org/fr/firefox/new/

 

Les moteurs de recherche alternatifs : Qwant, Lilo, Ecosia

L’algorithme de Google ne va probablement pas être content à la vue de cet article, mais qu’importe ! Bien que près de 90% des recherches sur Internet en France se font (toujours) sur ce moteur ultra populaire chez nous, sachez qu’il existe une alternative française pour faire vos recherches… Cocorico ! Cette alternative, elle porte le doux nom de Qwant. Un moteur de recherche qui respecte en plus votre vie privée et qui s’engage à ne pas vendre vos données personnelles, que demander de mieux ? (Comment ça ?! Certains moteurs font cela ?! Ah bin mince alors…) Sachez qu’il existe aussi une version Qwant Junior, qui, comme son nom l’indique, se destine aux plus jeunes et permet de faire ses recherches sur Internet de manière plus sereine.

https://www.qwant.com/?l=fr

 

Que demander de mieux ? Hé bien l’on peut aussi se tourner du côté de Lilo, moteur de recherche également français, qui signifie, paraît-il, « généreux » en hawaïen. A chaque recherche sur Internet, vous êtes crédité d’une goutte d’eau, que vous pouvez recréditer à nouveau à une ou plusieurs associations environnementales et/ou sociétales partenaires. Sachez que 1000 gouttes d’eau génèrent environ 4 euros… Donc il faut faire beaucoup de recherches pour apporter un réel soutien, mais pensez un peu à toutes les recherches que vous avez pu faire sur des moteurs beaucoup plus commerciaux, et qui auraient pu aider des associations

https://www.lilo.org/

 

Dans une veine similaire, voyez également Ecosia, moteur de recherche allemand qui s’engage à planter des arbres dans le monde et à soutenir des causes en faveur de l’environnement lorsque vous l’utilisez !

https://www.ecosia.org/?c=fr

 

Comme quoi, en matière de recherches sur Internet, on peut aussi lier l’utile à… l’utile pour soi-même et pour la planète !

 

À suivre dans un prochain article !

Reprise des ateliers Numérique en Main

Reprise des ateliers Numérique en Main

Reprise des ateliers Numérique en Main

Depuis le 03 avril 2025 à la Ruche Numérique de Bagnols-sur-Cèze, à raison d’1h30 chaque semaine, les ateliers Numérique en Main ont repris. Suite à l’édition 2024 qui avait rencontré un vif succès, ces ateliers GRATUITS ont pour objectif l’apprentissage et le perfectionnement en informatique, avec un large volet dédié à l’accompagnement aux démarches dématérialisées. Chaque jeudi de 13h45 à 15h15 pour les niveaux intermédiaires, et de 15h30 à 17h pour les niveaux débutants. Réservés aux bagnolais, prioritairement issus des quartiers Escanaux, Citadelle, Coronelle et Vigan Braquet. Si intéressé.e.s, n’hésitez pas à me contacter !
Avis aux porteurs de projet !

Avis aux porteurs de projet !

Avis aux porteurs de projet !

Nouveau ! Rendez-vous à partir de fin avril 2025 à la Ruche Numérique de Bagnols-sur-Cèze, à raison d’1h30 chaque semaine, pour des ateliers GRATUITS à destination des porteurs de projet d’association ou d’entreprise afin de se faire connaître et développer leur visibilité. Réservé aux bagnolais, prioritairement issus des quartiers Escanaux, Citadelle, Coronelle et Vigan Braquet. Si intéressé.e.s, n’hésitez pas à me contacter !